Marianne Leitao

Biographie

Poésies

La poésie
Berceau de la vie

 
Se laisser transporter
Ses moindres recoins, les deviner
 
Pour s’abreuver des mots dits
Qui s’enchaînent à l’infini
 
Contre vent et marées, lâchés
Qu’aucun frein ne peut empêcher
 
Ivres et libres, indéfinis,
En réminiscence à la poésie…

Au théâtre de la vie
Se laissent sourdre, tantôt des cris
Tantôt des mots d’amour
Se fondant aux alentours
 
Entre les sons et lumière
Qu’ils soient, spectateurs d’un jour
Ou acteurs pour toujours
Rien ne semble modifier cet Univers
 
Dans ce jeu de rôle
Avec, ou sans paroles
Chacun s’y retrouvera
Et en fera sa profession de Foi
 
Comme un film qu’on rembobine
Quand enfin le jour décline
Là où tout était
Plus rien ne semble subsister
 
Le silence meuble déjà la scène
Que quelques craquements masquent à peine
D’une foule qui s’enfuit
Que les pas entrainent vers la sortie
 
Quand le rideau s’abaisse
Et que le spectacle cesse
Fermant les yeux sur la vie
Commence celui de la nuit

Marianne Leitao.

Ne m’appelez pas
Comment je vais, ne me le demandez pas
Je vous répondrais que ça va…
 
Laissez-moi seule ce soir.
Quand tout est désespoir
Je préfère ne pas le faire savoir
 
Je ferais semblant de sourire
Alors que j’ai tellement envie de mourir
Ne m’appelez pas…
 
Auprès de vous, je serais présente
Mais pourtant si absente
Vous ne le méritez pas …
 
Je veux rester seule ce soir
Avec le poids de la peine
Que mon cœur traine…
 
Laissez-moi seulement
Entrevoir vos sourires
Cela me ferait plaisir…
 
Arrêtez ce temps
Le vivre plus longtemps
Pour évacuer ce trop-plein…
 
Laissez-moi seule ce soir.
J’en ai vraiment besoin
Quand celui que j’aime est si loin

Marianne Leitao

D’un clic, on devient ami
D’un clic, on t’élimine
Faut être bien armé contre la déprime…
 
D’un clic, j’ai tout dit
D’un clic, j’efface tout
Et, je restaure, d’un clic…
 
Comme dans un jeu de simulation
Où se perd la raison
L’adversaire n’est plus qu’un pion…
 
D’un clic, le monde j’atteins
D’un clic, il m’appartient
D’un clic, je l’abats et le restreins…
 
Dans ce combat sans âme
Que la distance condamne
Se jouent tous les drames
 
Sans explication à la clé
Aussitôt dit, aussitôt fait
Ton cœur est touché…
 
Amour-passion
Sans beaucoup d’option
Que de devenir destruction…
 
Perdu dans un monde sans visage
Où s’aimer semble d’usage
D’un clic, tu en deviens l’adage…
 
Des amours naissent
D’un clic, disparaissent
Il n’y a plus que des jours sans lendemain
A portée de main !

Marianne Leitao

Sous le soleil plombant, tu sembles tressaillir sous ma peau.
Le temps, le vent, l’eau n’ont aucun effet sur toi, tu sembles toujours présent, tu m’accompagnes.
 
Ton aura me parvient chaque fois, si fort, si pur, si beau.
Cette lumière m’éclaire de tendresse, de sensibilité qui m’empoignent
Je vois tes yeux sublimes et limpides semblant me regarder de là-haut.
 
La nuit venue tu sembles parfois m’appeler.
Emportée dans un demi-sommeil, ce vague souvenir me revient
et je ne semble pas répondre à cet appel.
 
Sois rassuré, je t’aime également de cet amour que tu me transmets
J’ai souvent l’impression que toi, mon Ange, tu as besoin également de mon amour pour t’éclairer.
 
Merci, mon Ange, de tant d’amour partagé.

Marianne Leitao

Avec un zeste d’affection
Ajoutez-y une touche de tendresse
Au parfum de vos plus belles pensées
 
Entourez-le de chaleur
Et surtout d’attention
Puis enrobez-le des couleurs de l’Amour…
Offrez votre cœur

Au fond d’un tiroir, j’ai retrouvé tes mots d’amour,
Comme une bouffée d’air pur qui manquait à ma vie
Je les relis aujourd’hui
Merci…je t’aime…
+++++++++
Je t’aime mon amour,
Tu es le souffle de chaque jour.
Cours, cours, ne te retourne pas,
Chaque jour me rapproche de toi.
 
Je t’attends mon amour,
Mon cœur souffre chaque jour.
Ce sera toi, mon amour,
Dans ma vie pour toujours.
 
Je souffle les pétales de la vie.
J’aimerais être auprès de toi pour te le dire.
Sois mon étoile que je garde au fond du Cœur.
 
Oublie l’ombre et sois moi.
Ne viens pas, mais suis moi.

Marianne Leitao

U n a toujours été
N i n’a jamais été dépassé
 
J our après jour, espérer
O ublier ce qui est passé
U surper le temps
R evoir le calendrier tout le temps
 
V ivre maintenant
I ci est toujours présent
E nnivrez-vous de la vie
N ul n’est censé l’oublier
D evenir ce que tu as toujours été
R evoir ta philosophie
A imer pour avancer…

Marianne Leitao
Le 10/02/2018

Sur une page blanche

Trop petite

Pour tout retranscrire…
 
 

Sur une page blanche

Trop fade

Pour la couleur de l’Amour…
 
 

Sur une page blanche

Trop épurée

Pour refléter la réalité…
 
 

Sur une page blanche

Trop alignée

Pour le sens l’en souligner…
 
 

Sur une page blanche

Les pensées vagabondent

Pour s’y perdre…
 

 
Sur une page blanche

Les mots abondent

Pour la remplir…
 


Marianne Leitao

Ecrit le 8 février 2017

Noël arrive à grands pas
Des cadeaux pleins les bras
.
Pour les petits
et les plus grands aussi
.
Partout, dans les rues on s’affaire
Pour trouver la bonne affaire
.
Qui fera briller les yeux
Et rendra ces moments heureux
.
Ce festival de sons et lumière
Donne le ton, à l’approche de l’hiver
.
Eclaire déjà les Coeurs
Et, apporte un peu de chaleur
.
Dans les foyers
On met les petits plats dans les grands
Et personne, n’oublier
Pour fêter Noël…

Marianne Leitao

Je m’en vais
Sur la pointe des pieds
Comme je suis arrivé

Jamais plus ici bas
Tu n’entendras mes pas
Ni parler de moi

Je m’en vais
Le Coeur lourd
Sans un espoir de retour

Sans faire de bruit
Sous des cris enfouis
Que masque si peu la vie

Je m’en vais
Pour te laisser la place
Quand plus rien ne te remplace

L’horizon semble si sombre
Quand se profile encore ton ombre
Mais je m’en vais…

Marianne Leitao ©
Ecrit le 18/03/2018

Sur une musique Enio Morricone :

(CHI MAY° le vent, le cri… (et du film : le Professionnel – avec Jean Paul Belmondo))

Ce matin, après dissipation des brumes matinales
inondant une grande partie des Cœurs
On peut prévoir quand même un peu d’Amour aujourd’hui !
 
A midi, on pourra observer quelques brèves éclaircies
Dissipant ainsi toute obscurcie
Laissant entrevoir l’apparition du grand Amour.
 
Le milieu d’après-midi sera marqué par son retour
De ses rayons, il remplira la majeure partie des Cœurs
Imprégnez-vous de sa douceur !
 
Après tant d’Amour partagé
Et au versant d’un Cœur un peu plus dégagé
Excepté les intempéries capricieuses, se présage une belle nuit étoilée.

Marianne Leitao
Écrit le 27 janvier 2017

Je n’ai pas oublié notre Rendez-Vous
Il est écrit dans ma pensée
Même si depuis, le temps a passé…
 
Quand se souligne ce contretemps,
Là, où tu es absent
Mon Cœur reste présent
 
Rien n’a vraiment plus d’importance
Quand dans ce silence
Se marque l’empreinte de ton absence…
 
Cet instant, je l’avais rêvé
Et, tellement imaginé
Que tout devait être parfait…
 
Mais le temps s’est arrêté
Alors que les aiguilles n’ont cessé de tourner
Pour me rappeler…
 
J’essuie avec peine
Ce que mon Cœur traine
et qu’une trace indélébile imprègne…
 
Aujourd’hui, même s’il fait beau
Il manque quelques mots
Pour compléter ce tableau…
 
Les aléas, tes excuses, je les accepterais
Pour ne rien effacer
Et tout recommencer…
 
Car dans ce fond si noir
Se reflète toujours l’espoir
D’un jour te revoir….

 
Marianne Leitao
Écrit le 28 octobre 2017

Je suis un oiseau de nuit
Celui qui ne fait pas de bruit
Qu’un tantinet, on oublie…
 
Quand tout se dit à bas- bruits
Aucun son ni on- dits
ne sont plus ouïs…
 
Au glas des douze coups de minuit
En sourdine, il se réjouit
et s’enfuit…
 
Son cœur n’a pas de répit
Bat la chamade quand tout s’obscurcit
Alors qu’il n’y voit qu’une éclaircie
 
Telle une chauve-souris
À qui la lune sourit, et éblouit
Il vole au phénix de celle-ci
 
L’oiseau de nuit
Quand le jour s’éteint,
À lui, il revient…

 
Marianne Leitao
14 février 2020

V oir que la vie soit passée
I solé mais tellement vrai
C hercher du secours
T oujours y croire
O ublier un instant sa patrie
R evenir sur ses pas mieux qu’avant
 
H orace l’avait dit
U surpé mais non déchu
G agner pour avouer
O ublier un instant que je ne suis plus

Aimer
Un verbe difficile à conjuguer
Quand le Cœur est déchiré…
 
Aimer
D’un Amour qui paraissait parfait
Dans un monde imparfait…
 
Aimer
Dont le futur semblerait lointain
Peut être sans lendemain…
 
Aimer
Dans le souvenir du passé
Que rien n’a pu effacer…
 
Aimer
Maintenant
Et le vivre au présent…

La fourmi

Suivant sa lignée
Sans jamais se tromper
 
Courageuse « je suis »
Et travailleuse à ce qu’on dit
 
A vos yeux, si petite
Mais de la besogne, je m’acquitte
 
Rien ne m’arrête
Aller au-delà des cimes et des crêtes
 
Aucune pyramide n’a plus de secret
J’atteindrais toujours son sommet
 
Sous le poids de la vie
Je n’ai jamais fléchi
 
Le monde à ma portée
Par sa boussole, je me laisse guider
 
Ni le chant de la cigale
N’a d’égal et n’est comparable
 
Bien que ma vie soit éphémère
J’ai bâti mon univers

L’automne aux portes de l’été
Commence à baisser ses rideaux
Face aux reflets latents de tant de Iuminosité
Les yeux restent encore mi-clos…
 
L’automne aux portes de l’été
Par celui-ci ne soyons pas aveuglés
Mais gardons un soupçon de la beauté
De ce que furent ces belles journées …
 
L’automne aux portes de l’été
Semble vouloir tout balayer sur son chemin
Pour laisser place à demain
et, tout en douceur nous y amener …
 
L’automne aux portes de l’été
Au ton mi-figue soit mi-raisin tantôt
Nous ouvre la porte sur ce renouveau
Pour la refermer sur ce qui a été…
 
L’automne aux portes d’un été
À l’horizon, déja son auréole se profilant
Profitons encore un peu de la clarté
Et du souffle d’un été s’achevant

Je t’aime, tu m’aimes, on s’aimera toute la vie
Il devait en être ainsi
Mais tu es parti …
 
Mon cœur touché de plein fouet
Cherche encore sa seule raison d’exister
Ton Amour …
 
Dans les songes, tu apparais
Quant au petit jour, rien n’est effacé
Je ne vois plus que la béance laissée …
 
J’ai juré de t’aimer toujours
De rester dans ton souvenir
Même si la souffrance se fait ressentir…
 
Mais tu n’as pas voulu
Que je porte le poids
De ton absence …
 
A Cœur perdu,
J’affronte la vie aujourd’hui
À tes côtés, mais si loin de toi…
 
Peut -être que j’avance
Mais le plus difficile à comprendre
C’est de « vivre » avec un Coeur
qui ne bat plus pour personne….

Je viens te voir aujourd’hui
Et te raconter une histoire
Que les grands n’ont pas compris…
 
Car tu es le seul qui puisse me comprendre
Et ma peine l’entendre
 
J’aimerais que l’amour règne toujours ici
Dans l’harmonie
 
Que les rêves puissent devenir réalité
Pour tout réaliser
 
Que l’eau soit si bleue
Si pure que s’y refléteraient nos yeux
 
Dans l’azur de cet océan
S’y baigner
 
Que tous les chemins soient bordés de fleurs
Qui embaument le cœur
 
Dont les couleurs seraient aussi belles
Que celles de l’arc-en-ciel
 
Qu’à perte de vue s’écoule toute cette beauté
Qu’aucune ombre ne viendrait entraver
 
Vivre dans un monde de paix
Où chacun puisse être écouté
 
Que chaque jour soit le paradis
 
J’aimerais…
 
5 avril 2017

En cette fin décembre 2011
À l’aube de Noël
Sous un soleil plombant
Bethléem rappelle
 
Jonchés sur un grand mur
Mais trop petit pour tous les maux du monde
S’y accrochent toutes les blessures
Et les plaies lui incombent
 
Des mots par milliers
D’un trop-plein que le cœur ne peut contenir
Que rien n’a jamais pu effacer
Ni le souffle du vent à grande peine les retenir
 
Une souffrance qui abonde
Sous des pleurs qui l’inondent
Tant d’espérance
S’écoule sur le mur du silence
 
Tant de peine
Que le cœur enchaîne
Tant d’aléas
Que la vie imprégnera
 
Des cris gravés
Que seul le temps pourra estomper
Des larmes versées que le soleil séchera
Tant de lamentations que le vent emportera…

Bruxelles,
 
Un petit point dans l’Univers
Mais que révèle toute sa lumière
De ses mille couleurs
S’ajoute celle de son Cœur…
 
Résonne le mystère de ses anciens pavés
encore imprégnés de son lourd passé
Sous le pas des badauds qui les parcourent
et lui font la cour chaque jour…
 
Derrière son fard,
Teinté de gris ou de bleu, elle masque sa peine
qu’elle dissimule à grand peine
mais où se cache le plus beau des regards…
 
Bruxelles,
 
Son élégance est à la hauteur de son parfum
Tantôt épicé, tantôt sucré, celui-ci nous retient
Nous emporte sur son chemin
Et nous fait valoir ses moindres recoins…
 
C’est entre une brune ou une blonde
Dont le choix abonde
Qu’on refait le monde chaque seconde
Pour ne pas se perdre dans ses contours à la ronde
 
Bruxelles,
dans son écrin
Se reflète un beau joyau
Où perle toute sa beauté
On t’aime…

Si demain, j’étais Roi
tu serais ma Reine…
 
Je te couvrirais de joyaux
De parures, aux bijoux les plus beaux
 
Dans mon carrosse, je t’emmènerai
Sur un pas de danse, à Vienne
 
Voir ces merveilleux endroits
Rien que toi et moi
 
Découvrir les palais des mille et une nuits
Où, les rêves les plus subtiles sont permis
 
Aux jardins si somptueux
Que s’y perdraient tes yeux
 
Dans cette miriade de couleurs
Se fondraient nos Coeurs
 
Pour toi, ma souverraine
Je bâtirais un château
Où, tu seras ma Reine
 
Et, je ferais de chaque jour
un Havre d’Amour
où, je serais ton Roi…

Celui qui sait parler « aux Coeurs »
Pointillé, à l’encre de la douceur
 
Son charme est envoûteur
Et bouleverse toutes les ardeurs
 
Il est si attachant
Que se fondent tous les penchants
 
Son élégance est sans faux semblant
Pour ne pas y succomber un instant
 
Ses mots touchants
Renversent tous les tourments
 
Qu’il est difficile de ne pas lui résister
Un moment, les oublier
 
Comme un « Maître » il peint — voir le mot exact (Maître)
Son chef d’oeuvre, entre les mains
 
Sur la toile de fond
Les contours à merveille s’ajustant
 
Il dessine « un Coeur »
Dont il est le seul à raviver les couleurs…

Comme il me plairait, à vos côtés (côtés)
Plus longtemps, y rester
Mais déjà le devoir m’appelle
 
Gente Dame,
Laissez-moi vous embrasser
Une dernière fois
Eu égard aux regards
 
Gente Dame
Que vous êtes belle
Vos yeux me ravissent le coeur
Ne pleurez pas
 
Gente Dame
Je voudrais me rapprocher
Vous serrer dans mes bras
Ne reculez pas
 
Gente Dame
Vos lèvres sont parfumées
Empreintes de douceur
Plus rien n’existe autour de nous.
 
Gente Dame
J’aimerais retenir cet instant
Pour le vivre intensément
Mon Coeur bat pour vous.
 
Gente Dame
Vos doigts glissent entre les miens
Que votre pudeur délicatement retient
N’ayez pas peur
 
Chez vos parents, demain,
Je reviendrais
A votre père, votre main,
Je demanderais…
 
Je vous aime Gente Dame…

Touchée en plein Coeur d’un si petit pays,
Généreuse tu as été,
Ville rebelle tu es devenue,
Tu as donné ton Coeur, et la foudre l’a repris.
 
Meurtrie dans ton âme, —(âme)
Tu panses difficilement tes blessures aujourd’hui…
 
Sous le fard, masquant une réalité latente,
elle dissimule sa peine.
 
Derrière son calme apparent,
Ses cris sont profonds,
et ne s’entendent pas.
 
Bruxelles, relève-toi…
Ne baisse pas les bras !…
Tes enfants t’aiment..

J’ai trouvé un endroit

Un petit écrin de bonheur reflétant la joie

Sans jeu ni loi…


 
Les mots peuvent circuler

Sans crainte de se bousculer

Sans faux-semblants, s’exprimer

 
J’ai trouvé un endroit 

Qui inspire la tranquillité 

Pour les pensées s’y balader


 
Tout est clair et si beau

La lumière perle dans ce joyau

Et rien ne semble y être de trop


 
J’ai trouvé un endroit 

Où s’échappe le spleen

Quand la Paix et la Liberté règnent


 
Au son de ces accords harmonieux 

Teintés de rêves merveilleux 

Ceux qui rendent heureux 


 
Un endroit sans gain ni appât

Où se confondent les valeurs

Pour y gagner les Cœurs


 
J’ai trouvé un endroit

Pour toi et moi

Où l’Amour y est Roi…