|
|
|
Hasui Kawase (川瀬 巴水 - 1883 - 1957)
|
|
|
|
En attendant de nous revoir ......
|
|
|
Émile Nelligan
Gretchen la pâle
Elle est de la beauté des profils de Rubens Dont la majesté clame à la sienne s'incline. Sa voix a le son d'or de mainte mandoline Aux balcons de Venise avec des chants lambins. Ses cheveux, en des flots lumineux d'eaux de bains, Déferlent sur sa chair vierge de manteline ; Son pas, soupir lacté de fraîche mousseline, Simule un vespéral marcher de chérubins. Elle est comme de l'or d'une blondeur étrange. Vient-elle de l'Éden ? de l'Erèbe ? Est-ce un ange Que ce mystérieux chef-d'oeuvre du limon ? La voilà se dressant, torse, comme un jeune arbre. Souple Anadyomène... Ah ! gare à ce démon ! C'est le Paros qui tue avec ses bras de marbre !
|
|
|
|
« Tout comme une peinture est une poésie… »
|
Horace, in L’art poétique ou Epître aux Pisons
|
|
|
Tout comme une peinture n'est qu'une poésie, nous, Poètes, ne faisons que peindre !
|
Et, de peindre ce que fut le Grenier aux Chansons de Jane Tony, c'est ce que nous propose Le Non-Dit dans sa dernière livraison.
|
Un magnifique numéro richement documenté où l'on retrouve l'esprit d'une époque, une équipe épique pour une épopée mythique mais aussi une taraudante question: Qui s'en souvient ? Qu'en reste-t-il à présent ? Ont-elles fondu les neiges d'antan ?
|
C'est donc bien le lieu, ici, du haut de nos neiges vieilles de près de quarante ans, de rappeler qu'au Grenier, nous nous efforçons -quels que soient les aléas des climats- de perpétuer l'esprit de Jane Tony afin que toujours son nom brille au firmament de nos cœurs, à nous, Poètes qui, comme vous le savez maintenant, ne mourrons pas.
|
Et le Grenier s'honore toujours de compter parmi ses membres des poètes d'exquises qualités.
|
Alors lisez ce numéro de La Nouvelle Revue des Élytres où vous pourrez retrouver des poèmes signés Michel Joiret, Philippe Colmant, Carine-laure Desguin, Marcel Peltier, Martine Rouhart, Isabelle Bielecki, Jean-Louis van Durme, Carine Chavanne, Chantal Demeter, Marcelle Pâques, Renée Wohl….ou même moi !
|
Oui, lisez ce numéro ! Avec cette passionnante interview de Florence Noël par Patrick Devaux et les remarquables recensions de Martine Rouhart consacrées, ce mois-ci, à Françoise Lison-Leroy et Isabelle Bielecki.
|
Martine Rouhart dont nous vous proposons un portait EN LETTRES CAPITALES dû à Dan Burcea que nous remercions.
|
Côté parutions, votre petit relevé mensuel de ce qui est à lire…
|
Chez nous, ce mois-ci, dans la collection Les Chants de Jane, nous vous proposons de retrouver "Écoutant la rivière", dans ce vingt-sixième numéro consacré à Thierry-Pierre Clément.
|
Alors, découvrez les capsules de "PoésieS au Grenier", avec des lectures d'Omar Khayyâm et de Florence Noël….le mois prochain nous retrouverons une capsule consacrée à Renaud Denuit.
|
Il ne vous reste plus qu'à vous faire membre et reprendre le flambeau…
|
On m'a dit -j'ignore si c'est exact- que c'est fin septembre ou début octobre que Jane s'en est allée ; Septembre/Octobre, où nous espèrerons nous retrouver, dites-moi, n'est-ce pas aussi la saison de la seconde floraison des coquelicots ?
|
Lysztéria Valner, le 30 mai 2021
|
|
|
|
Si vous ne parvenez pas à lire les poèmes, veuillez ouvrir la NRE dans votre navigateur et ils vous seront accessibles. Pour cela cliquez sur "View this in your browser.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Par suite d’un impondérable, dont nous vous prions de bien vouloir nous excuser, nous sommes dans l’impossibilité de publier l’interview écrite de l’auteur ce mois-ci. Vous pourrez, cependant, retrouver le texte de cette interview dans notre prochaine livraison.
|
|
|
|
|
Françoise Lison-Leroy, Sauvageon, bleu d’encre, 2021
|
Une succession fluide de courts textes en prose, forts, humanistes et extrêmement poétiques.
|
La poète (prix François Coppée 2020 de l’Académie française pour Les blanc pains) disait déjà dans « Le Temps Tarmac », le tragique des migrants qui tentent, de mur en mur, de se frayer leur chemin.
|
Dans Sauvageon, elle met en face de nous l’une de ces ombres pâles et transparentes jetées dans la vie, et qui côtoient les nôtres sans qu’on veuille toujours les voir.
|
« On les croise n’importe où, entre battements serrés et déserts mouvants. Chacun se reconnaît au long regard moussu qui s’efface »
|
L’on fait un bout de route avec lui (nommé Petit Pierre), de la naissance à l’enfance.
|
Le voici qui peu à peu apprivoise sa vie, se construit son monde à lui. Le rêve y est très présent.
|
« Il se crée une cabane à l’insu de tous (…) Il se barde de silence et d’images, tenant les murailles à distance ». « Et la manœuvre s’invente, l’énergie caracole d’un point à un autre. Tu vérifies les liens, l’équilibre, l’impact de la brise sur les cordages, la progression du lierre ou d’une belette. Tu repères le baiser du soleil sur les toitures, à travers palissades et fenêtres »
|
Un livre évidemment dur pour ce qu’il véhicule de misère humaine, mais aussi tendre et attachant, de la haute poésie.
|
|
|
|
Les stichous d’Isabelle Bielecki
|
Isabelle a porté durant toute sa jeunesse le drame de ses parents. Ce sont les mots qui l’ont tirée de l’amnésie. Ce sont eux qui continuent à arracher, l’un après l’autre, les barreaux de la prison du passé et qui font avancer la poète.
|
L’on connaît les romans-autofiction de l’auteure qui relatent de larges pans de ces années de chrysanthèmes et témoignent de ses bouleversements.
|
Il manquait encore la publication de « La Maison du Belge » (qui vient de paraître en 2021 aux éditions MEO) pour alléger, sinon guérir les blessures. Ce livre clôt la trilogie, faisant suite aux deux autofictions précédentes, « Les mots de Russie » et « Les tulipes du Japon ».
|
Isabelle est une tourmentée. Entière, sincère, partagée entre élans et retenues, elle a même parfois du mal à se protéger d’elle-même.
|
Mais il existe plusieurs versions de soi, capables de se répartir le temps, le temps de l’écriture.
|
Ainsi, ce sont à nouveau les mots mais, cette fois, aériens et presque désinvoltes, qui la libèrent. Ils lui font le cadeau de ce qui allège, lui procurent la bulle de légèreté nécessaire à la vie.
|
Ce sont les mots de ses « stichous », petits poèmes structurés qu’elle a inventés il y a déjà longtemps.
|
Elle en a rempli les pages de plusieurs recueils et anime depuis des années des ateliers d’écriture qui rencontrent du succès, même auprès des plus jeunes.
|
Le stichou se compose de cinq lignes : les deux premières décrivent une activité ou une observation de la vie quotidienne, la troisième (et se dire/et lui dire) forme une transition, piste d’envol pour les deux dernières qui ouvrent la porte de l’imaginaire, lancent une interrogation ou une pensée.
|
Les Chants de Jane n°21 (paru en 2019) nous ont offert un florilège de quarante de ces poèmes.
|
Tantôt teintés d’une envie de légèreté :
|
Tu pourrais au moins sourire ! »
|
Ils peuvent aussi atteindre une autre profondeur :
|
Les stichous provoquent souvent le sourire et font du bien à l’âme, surtout lorsqu’ils sont doux et tendres comme les Nounours de notre enfance :
|
« Chaque matin Refaire son lit Et lui dire : Garde mes rêves au chaud Nous appareillons ce soir »
|
(Extrait du recueil « Petite moisson pour cent interprètes », Le Coudrier, 2016)
|
|
|
|
|
Portrait en Lettres Capitales : Martine Rouhart
Qui êtes-vous, où êtes-vous née, où habitez-vous ?
|
Je suis Martine Rouhart, née à Mons, en Belgique (partie francophone) en novembre 1954. J’ai quitté ma ville natale pour faire mes études de Droit à Bruxelles et j’y ai exercé le métier de juriste-fiscaliste durant 40 ans. Depuis toutes ces années, j’habite au Sud de la capitale, entre les champs et la forêt de Soignes.
|
Vivez-vous du métier d’écrivain ou, sinon, quel métier exercez-vous
|
J’ai donc exercé le métier de juriste et je suis maintenant comme on dit « à la pension », bien que pour moi c’est en fait une nouvelle vie et de nouvelles activités passionnantes qui se sont ouvertes. Je publie depuis seulement une bonne dizaine d’années.
|
Comment est née votre passion pour la littérature et surtout pour l’écriture ?
|
Les livres font partie de ma vie depuis mon enfance, en grande partie grâce à mon père qui était professeur de français et avec qui j’ai noué très tôt une complicité littéraire. Depuis toujours j’écris des « petits textes pour personne ». C’est un grave problème de santé, survenu en 2009, qui m’a donné l’impulsion nécessaire pour aller jusqu’au bout de mon rêve, écrire et publier un premier roman. Depuis, l’écriture est devenue mon activité principale. Je participe aussi à la vie littéraire de mon pays au travers de nombreuses associations, notamment par la rédaction de chroniques de livres et la présentation d’auteurs.
|
Quel est l’auteur/le livre qui vous ont marqué le plus dans la vie ?
|
M Proust, H Bergson, Ph Jaccottet, les philosophes de l’école stoïcienne (Marc Aurèle, Sénèque). Ah oui, aussi « Le Lys dans la vallée » de Balzac...
|
Quel genre littéraire pratiquez-vous (roman, poésie, essai) ? Passez-vous facilement d’un genre littéraire à un autre ?
|
J’écris des romans (le 7è est paru en 2020) mais même dans l’écriture de ceux-ci, je me suis rendu compte que mon vrai carburant, c’est la poésie. De la poésie brève, libre. J’ai publié à ce jour 6 recueils. J’écris souvent les deux genres (roman et poésie) en parallèle, ils se nourrissent l’un l’autre ; tout me semble lié, relever d’un même mouvement, même si l’écriture n’est bien sûr pas du tout la même.
|
Comment écrivez-vous – d’un trait, avec des reprises, à la première personne, à la troisième ?
|
La poésie, très souvent d’un trait ou presque.
|
Les romans, je les retravaille énormément, je reviens sans cesse en arrière, corrige pour trouver le mot juste, je biffe, j’allège, ...
|
J’écris à la première personne ou à la troisième, cela dépend du niveau auquel je veux me placer et amener le lecteur. Pour les romans, j’utilise volontiers le « je » car il me semble ainsi plus naturel de rentrer véritablement dans la tête des personnages.
|
D’où puisez-vous les sujets de vos livres, et combien de temps est nécessaire pour qu’il prenne vie comme œuvre de fiction ?
|
Tant pour la poésie que les romans, ce qui m’intéresse, c’est « la vie ordinaire », l’histoire de gens « ordinaires » ce qui, en fait, est toujours un peu extraordinaire puisque la vie est unique.
|
Mes romans sont plutôt des romans intimistes, même si une intrigue n’est jamais absente. Je mets facilement près de deux ans pour terminer un roman.
|
Les sujets de mes poèmes, je les puise en regardant par la fenêtre le ciel ou l’envol d’un oiseau, et/ou en rentrant profondément en moi, pour m’interroger sans fin...
|
Choisissez-vous d’abord le titre de l’ouvrage avant le développement narratif ?
|
Cela dépend... il arrive que le titre s’impose d’emblée, mais c’est rare, souvent c’est au cours de l’écriture ou même à la fin du livre. D’autant plus que lorsque j’écris un roman, je n’ai pas de véritable plan en tête, seulement un thème et des personnages, le livre se construisant pas à pas comme une sorte de puzzle.
|
Quel rapport entretenez-vous avec vos personnages et comment les inventez- vous ?
|
Lorsque je travaille à un roman, je me sens un peu à la dérive, en exil de moi-même. Je ne sais plus qui je suis, quelle âme j’abrite, la mienne ou celle de mon personnage ? Je ressens des angoisses et des pensées qui ne sont pas miennes, mais celles d’un double qui est moi et qui ne l’est pas, me faisant passer au second plan dans une sorte de jeu de reflets...
|
Parlez-nous de votre dernier ouvrage et de vos projets.
|
Mon dernier roman s’intitule « Les fantômes de Théodore » (éditions Murmure des Soirs, 2020), il traite des non-dits, en particulier au sein de la famille. Le message principal, c’est que les rencontres et les épreuves transforment nos vies, et c’est peut-être la meilleure chose qui puisse nous arriver...
|
Je suis en train d’écrire un nouveau roman. Un recueil de poèmes va bientôt sortir, avec une amie photographe car j’aime beaucoup associer textes et autres formes d’art. A la fin de l’année, paraîtra (éditions MEO) un récit, ce qui m’a entrainée dans la vraie aventure de l’écriture, il y a dix ans...
|
Interview reprise sur le blog littéraire de Dan Burcea, « Lettres Capitales »
|
|
|
|
Vincent Voiture (1597 - 1648)
Des portes du matin l’Amante de Céphale, Ses roses épandait dans le milieu des airs, Et jetait sur les cieux nouvellement ouverts Ces traits d’or et d’azur qu’en naissant elle étale,
|
Quand la Nymphe divine, à mon repos fatale, Apparut, et brilla de tant d’attraits divers, Qu’il semblait qu’elle seule éclairait l’Univers Et remplissait de feux la rive Orientale.
|
Le Soleil se hâtant pour la gloire des Cieux Vint opposer sa flamme à l’éclat de ses yeux, Et prit tous les rayons dont l’Olympe se dore.
|
L’Onde, la terre et l’air s’allumaient alentour Mais auprès de Philis on le prit pour l’Aurore, Et l’on crut que Philis était l’astre du jour.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Paul Valéry, Ainsi Parlait Paul Valéry, Textes choisis et présentés par Yves Leclair, Arfuyen, mai 2021, 176 p, 14,00€
|
|
|
Régis Lefort, Détroit, Tarabuste, 2021,104 p, 13,00€
|
|
|
Tom Buron, Marquis Minuit, Le Castor Astral, mai 2021, 12,00€
|
|
|
|
|
Philippe Leuckx, Les Entrelus de Philippe Leuckx - Aux Hautes Marges, Le Coudrier, 15 mai 2021, 185 p, 22,00€
|
|
|
Thierry Radière, Entre midi et minuit, La Table Ronde, 11.03.2021, 336 p, 17,00€
|
|
|
Jean-Pierre Lemaire, Graduel, Gallimard, 13.05.2021, 136 p, 14,00
|
|
|
|
|
Michel Vachey, Archipel plusieurs 1967-1987, Flammarion, 05.05.2021, 464 p, 30,00€
|
|
|
Nathan Katz, L'œuvre poétique I, Préface de Jean-Paul Dadelsen. Postface et notes de Yolande Siebert. Bilingues, Arfuyen, mai 2021, 276 p, 19,50€
|
|
|
Patrick Devaux, Le temps appris, le Coudrier, 17 mai 2021, 67 p, 16,00€
|
|
|
|
|
Jean-Claude Xuereb, Avant que s'efface l'ineffable, Rougerie,2021, 12,00€
|
|
|
Gilles Baudry, Il a neigé tant de silence suivi de Invisible ordinaire, Rougerie, 2021,12,00€
|
|
|
Gabrielle Althen, La fête invisible, Gallimard, 13.05.2021, 128 p, 14,50€
|
|
|
|
|
Gabrielle Belletti, Objet et sujet dans les miroirs de la poésie, Al Dante- Les Presses du réel, mars 2021, 328 p, 30,00€
|
|
|
Dante Alighieri, La Divine comédie, nouvelle traduction: Danièle Robert, Actes Sud, mars 2021, 928 p, 13,50€
|
|
|
Florentine Rey, L'année du pied-de-biche, Le Castor Astral, avril 2021, 72 p, 12,00€
|
|
|
|
|
Edouard Glissant, Le sel noir - Pays rêvé, pays réel, Gallimard, 13.05.2021, deux volumes, 400 p, 24,00€
|
|
|
Franck Delorieu, Quercus suivi de Le séminaire des nuits, Gallimard, 13.05.2021, 96 p, 12,00€
|
|
|
Collectif, A quels feux s'invitent vos rêves ?, Le Coudrier, 10 mai 2021, 205 p, 30,00€
|
|
|
|
|
Collectif, le sommet de la route et l'ombre de la croix, Gallimard, 29.04.2021, 128 p, 6,00€
|
|
|
Thierry-Pierre Clément, Écoutant la rivière, Les Chants de Jane, N°26, GJT, mai 2021, 25 p, 5,00€
|
|
|
Anne-Marielle Wilwerth, Les miroirs du désordre, Le taillis Pré, mai 2021, 102 p, 16,00€
|
|
|
|
|
|
|
|
Quel beau challenge que celui lancé par les Editions Lamiroy !
|
Il s’agissait de leur envoyer les 5000 premiers mots du roman que j’écris. Ces 5000 mots viennent d’être acceptés, validés. Ils constituent l’apéropuscule CEUX-LA DE BOUE ET DE MERDE. Si cet apéropuscule remporte un p’tit succès, le roman sera édité. Et vous découvrirez donc ce qu’est devenu LUCAS DEPOORTER, aide-soignant dans la résidence du Clos Fleuri, une résidence située à Bruxelles. Lucas est disparu depuis plusieurs semaines…
|
Comment, quand, où, et surtout POUR QUOI ?
|
Donc, MERCI de vous rendre sur le site de l’éditeur, de cliquer et de commander CEUX-LA DE BOUE ET DE MERDE (cinq euros frais compris).
|
C’est un challenge et je ne peux donc envoyer moi-même votre exemplaire.
|
ET D’AVANCE, MERCI A TOUS !
|
(Voici le pitch de cette histoire :
|
Dirck Vermeersch en est resté abasourdi. La détective privée Ingrid Capelli a déboulé chez lui un samedi matin et ce qu’elle lui a annoncé ne présageait rien de bien. Lucas Depoorter, un ex avec qui il entretenait toujours des liens d’amitié ne s’est pas présenté à son travail depuis trois semaines et cela sans aucun motif, sans aucune excuse de sa part. Or Lucas, aide-soignant à la résidence du Clos Fleuri est quelqu’un d’irréprochable et apprécié de tous. Dirck Vermeersh se souvient très bien de son dernier rendez-vous avec Lucas. Celui-ci était déprimé et lui avait confié, Dans la boîte, ça craint grave, tu pourrais pas imaginer tout ce qui se trame là-bas. Dans l’équipe, y’a de ces pourris… Bientôt, j’en suis certain, quelqu’un vendra la mèche. Et ça pètera, Dirck, ça pètera).
|
|
|
Vif désir de revenir à vous avec ma “Villa Fatale”, cette courte fiction qui est parue chez Lamiroy, dans la nouvelle collection Apéropuscule.
|
Premières réactions formidables : mes lecteurs sont scotchés immédiatement.
|
Et cette “Villa” a un prix très raisonnable : 5 euros ! Paraîtra-t-elle sous forme papier ? Pas certain.
|
Donc voici le lien magique :
|
Mais si vous préférez un virement postal, voici mon n° de compte :
|
(et je transmettrai à mon éditeur qui vous enverra “Villa Fatale” à votre adresse virtuelle)
|
|
|
|
C’est le moment ! N’oubliez pas, si vous voulez recevoir les « Chants de Jane », de renouveler votre cotisation annuelle : 30 € à verser sur le compte du Grenier BE68 3630 1692 5934.
|
|
|
|
Attention ! Le Grenier Jane Tony a changé de compte en banque.
|
|
|
Règlement Général sur la Protection des Données
|
Pour la diffusion de « La Nouvelle Revue des Élytres », nous disposons d’un fichier d’adresses courriel. C’est le seul fichier de données personnelles que nous possédons. Il n’est en aucun cas et pour aucun motif, accessible à de tierces personnes. De plus, il ne sera ni donné ni échangé avec des tiers ou toute autre personne morale.
|
|
|
|
|
|
|
|