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Le temps des cerises
Quand nous chanterons le temps des cerises, Et gai rossignol et merle moqueur Seront tous en fête ; Les belles auront la folie en tête Et les amoureux du soleil au cœur… Quand nous chanterons le temps des cerises, Sifflera bien mieux le merle moqueur.
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Mais il est bien court, le temps des cerises, Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreilles ! Cerises d'amour, aux robes pareilles, Tombant sous la feuille en gouttes de sang … Mais il est bien court le temps des cerises, Pendants de corail qu'on cueille en rêvant !
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Quand vous en serez au temps des cerises, Si vous avez peur des chagrins d'amour, Évitez les belles. Moi qui ne crains pas les peines cruelles, Je ne vivrai point sans souffrir un jour. Quand vous en serez au temps des cerises, Vous aurez aussi des chagrins d'amour.
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J'aimerai toujours le temps des cerises ; C'est de ce temps là que je garde au cœur Une plaie ouverte ; Et dame Fortune, en m'étant offerte, Ne pourra jamais fermer ma douleur. J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au cœur.
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Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle…
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« Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle
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Ce Pin où tes honneurs se liront tous les jours :
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J’ai gravé sur le tronc nos noms et nos amours
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Qui croîtront à l’envie de l’écorce nouvelle… »
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Nombreux sont ceux et celles qui auront appris la toute récente fermeture de La Fleur en Papier Doré, mythique estaminet bruxellois où se réunirent les principales figures du mouvement surréaliste belge et où toutes les générations de greniéristes se sont succédés quasiment sans discontinuer depuis notre ouverture en 1983.
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Notre Grenier doit tant à la Fleur, qui nous a offert -au sens propre et figuré- le gîte et où nous avons ci-souvent pris nos couverts, qu’il me serait impossible de vous en énumérer les bienfaits.
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Mon cœur cependant a souhaité lui rendre cet hommage que je partage avec vous :
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Ainsi s’en vont les fleurs et le papier doré…
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Ainsi s’en vont les fleurs qui à la terre épaisse
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Délaissent ivraie et pleurs aux doux chants des Druidesses
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Ainsi s’en vont nos peurs à la dent du sirex
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Ô Heures noires et funestes sur ma langue de silex
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Il me reste une fleur en son papier doré
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Et de l’herbe d’ivrogne pour écrire un poème
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Au fond de mon grenier au son d’un requiem
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Et les larmes de Jef iront seules à la Senne
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En chantant pour le roi, la loi, la liberté
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Au souvenir d’antan et de Mam’zelle Germaine
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C’est vrai qu’elle était rousse et qu’elle était cruelle
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Et puis, moins bien que vous et de vous bien moins belle
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Ainsi s’en vont les fleurs et le papier doré
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Comme les sarments l’hiver et les bonbons l’été…
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Que deviendra La Fleur ? À ce jour, nul ne le peut dire. Mais souhaitons-lui de renaître de ses cendres et de croître à l’envie de l’écorce nouvelle !
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Que deviendra Le Grenier et ses séances mensuelles dans ces circonstances, me demanderez-vous ?
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Jusqu’au mois de décembre (inclus) nous tiendrons nos séances aux dates et horaires habituels, à La Maison des écrivains, l’AEB ayant très aimablement acceptée de nous héberger le temps que nous puissions nous retourner et d’étudier les différentes possibilités de relocalisation de nos activités.
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Aussi le samedi 17 septembre prochain, nous vous attendons nombreux pour notre séance de rentrée où nous aurons l’occasion de présenter le dernier recueil -dont vous parle Martine dans sa chronique- et de parcourir la vie et l’œuvre de celui que l’on ne présente plus : Michel Joiret, himself ! Puis, comme chaque mois depuis près de quarante ans, c’est vous qui aurez la parole toute une heure durant…
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En attendant de nous retrouver c’est au poète Arnaud Delcorte que nous donnons la parole ce mois-ci avec un entretien d’une grande qualité qu’il nous a accordé dans le cadre de notre série Bas les Masques !
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Et de poètes de notre Grenier il en est nombre à lire en cette rentrée dans votre revue de poésie préférée…
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De la poésie toujours avec ce Florilège Guillaume Apollinaire que nous offre la jeune artiste bruxelloise Aliya A. (elle reviendra nous voir en mars pour un petit tour de chant et en avril en qualité de metteur en scène, si tout se passe comme nous l’espérons).
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De la poésie encore avec des extraits de notre scène ouverte mensuelle dans notre rubrique Le Grenier en Scène.
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Enfin le principal des publications, de l’actualité de nos membres et des événements poétiques qui débutent cette saison.
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Voilà le menu de cette NRE de rentrée qui, nous l’espérons, aura l’heur de vous séduire.
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À samedi, si tel est votre bon plaisir…
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Si vous ne parvenez pas à lire les poèmes, veuillez ouvrir la NRE dans votre navigateur et ils vous seront accessibles. Pour cela cliquez sur "View this in your browser.
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Michel Joiret, Le long chagrin de mes jardins de ville (Le Coudrier, 2022)
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Le recueil de Michel Joiret, c’est un peu ses « rêveries d’un promeneur solitaire » dans sa ville natale. Solitaire, même si les amis sont très présents, des poèmes sont d’ailleurs dédiés à l’un ou l’autre, comme à Jean Dumortier et Joseph Bodson.
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Un recueil de souvenirs, non, plus que cela, un livre de méditation sur le temps qui passe.
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Le poète promène sa mémoire au travers des parcs de Bruxelles, ceux où il a joué enfant et fait ses premières rencontres.
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Ce n’est pas tant les arbres, les allées des parcs, la nature en tant que telle qui l’inspirent, mais ce qu’elle évoque, comme s’il donnait surtout une pensée aux paysages.
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Un livre fait de passé et aussi d’émerveillement, témoignant d’une capacité toujours très vive et renouvelée de l’auteur à l’Etonnement.
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Où tu venais t’asseoir alors
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Passait la rampe de ta voix comme
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On y lit évidemment, comme toujours lorsque l’on évoque des souvenirs, de la nostalgie et quelques regrets murmurés.
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« (…) Et je me vois filer très
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Mais il y a beaucoup de douceur dans ses mots, tant pour les autres que pour lui-même ; pas de lamentation, on ne le sent pas vraiment triste. Simplement le poids du temps à supporter, les petites misères du quotidien. Le « chagrin » évoqué dans le titre, sans doute est-ce surtout celui des jardins égarés dans le Bruxelles que les hommes ont défigurés au fil du temps…
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Bien sûr il est question du temps de l’enfance, et de ses parents. Soulignons d’ailleurs la belle image de couverture, la Place Royale sous la pluie nocturne, reproduction d’une peinture de Rupert Joiret.
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Le style du recueil est remarquable ; travaillé, avec quelques mots rares sans être savants, de belles métaphores, des retours à la ligne qui donnent aux textes leur rythme et leur intensité, des images et sentiments juste évoqués, des silences et des non-dits...
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« Mon jardin était celui des
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Invite à la réjouissance des
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On referme le recueil, traversé par une mélancolie presque joyeuse. Avec une pensée émue pour l’auteur de ces vers…
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Dans cette nouvelle rubrique, « Le Grenier en Scène », vous pourrez retrouver chaque mois le résumé des séances de lectures mensuelles tenues par le GJT. Une occasion de découvrir nos poètes et chansonniers vous présentant leurs œuvres parce que si la poésie ça se lit, ça se dit et ça se chante aussi !
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Benedetto sia 'l giorno, e 'l mese, e l'anno, e la stagione, e 'l tempo, e l'ora, e 'l punto, e 'l bel paese, e 'l loco ov' io fui giunto da' duo begli occhi, che legato m'hanno;
e benedetto il primo dolce affanno ch'i' ebbi ad esser con Amor congiunto, e l'arco, e le saette ond'i' fui punto, e le piaghe che 'n fin al cor mi vanno.
Benedetto le voci tante ch'io chiamando il nome de mia donna ho sparte, e i sospiri, e le lagrime, e l' desio;
e benedetto sian tutte le carte ov'io fama l'acquisto, e l' pensier mio, ch'è sol di lei, si ch' altra non v' ha parte.
Francesco Petrarca (1304-1374)
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Béni soit le jour, bénis le mois, l'année Et la saison, et le moment et l'heure, et la minute Béni soit le pays, et la place où j'ai fait rencontre De ces deux yeux si beaux qu'ils m'ont ensorcelé.
Et béni soit le premier doux tourment Que je sentis pour être captif d'Amour Et bénis soient l'arc, le trait dont il me transperça Et bénie soit la plaie que je porte en mon coeur
Bénies soient toutes les paroles semées A proclamer le nom de celle qui est ma Dame Bénis soient les soupirs, les pleurs et le désir.
Et bénis soient les poèmes De quoi je sculpte sa gloire, et ma pensée Tendue vers elle seule, étrangère à nulle autre
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W. B. Marguerite, Figurine en argile, De L’Onde, 23.8.2022, 30 p., 15,00€
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William Blake, Le mariage du ciel et de l’enfer (traduction : Jean-Yves Lacroix ; édition bilingue), Allia, 25.8.2022, 80 p., 3,00€
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Wolfgang Hilbig, Moi, né sous le feu du temps, Circé, 25.8.2022, 128 p., 14,00€
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Stéphane Guiran, En passant par le Nid (des murmures), Les heures Brèves, 15.9.2022, 52 p., 20,00€
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Stella Vinitchi Radulescu, Vocabulaire du silence, Du Cygne, 11.8.2022, 94 p., 13,00€
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Sandro Penna, Un peu de fièvre (traduction : Jean-Paul Mangarano), Ypsilon, 16.9.2022, 160 p., 20,00€
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Robert Macfarlane, Le petit livres des sortilèges (traduction : Patrick Hersant ; Illustration : Jack Morris), Les Arènes, 25.8.2022, 240 p., 20,00€
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Philippe Siméon, Transcendance du langage, Ramsay, 20.9.2022, 260 p., 19,00€
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Philippe Siméon, Ombres et fééries (illustration : Juliette Diemer), Ramsay, 13.9.2022, 152 p., 39,00€
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Martin Page, Un accident entre le monde et moi, Bruno Doucey, 08.9.2022, 112 p., 14,00€
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Mathias Richard, À travers tout, Tinbad, 15.9.2022, 438 p., 30,00€
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Marc Alexandre Oho Bambe, La Vie Poème, Mémoire d’Encrier, 25.8.2022, 160 p., 14,00€
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Philippe Blanchon, Fortune, Lettre volée, 16.9.2022, 80 p., 15,00€
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Natalie Diaz, Poèmes d’amour postcolonial, Globe, 15.9.2022, 288 p., 18,00€
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Monica Jornet, Libres pensées sous licence poétique, Libertaire, 09.9.2022, 122 p., 13,00€
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Mahé Boissel, Écrire est ma robe de feu, Le Realgar, 22.9.2022, 88 p., 17,00€
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Mag Lévèque, tant qu’il reste quelque chose à détruire, Blast, 23.9.2022, 88 p., 11,00€
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Louise Dupré, Exercices de joie, Bruno Doucey, 08.9.2022, 144 p., 15,00€
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Lucebert, Tout est dans le monde (traduction : Kim Andringa & Daniel Cunin ; illustration : Lucebert), Unes, 19.8.2022, 208 p., 25,00€
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Lord Byron, Poèmes (traduction : Jean-Louis Paul & Florence Guilhot), Allia, 25.8.2022, 128 p., 6,10€
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Less Murray, Poèmes vernaculaires (traduction : Thierry Gillyboeuf), De Corlevour, 24.8.2022, 126 p., 18,00€
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Julia Hung, Le vin en cent poèmes, Omnibus, août 2022, 216 p., 32,00€
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Jeanne Gamonet, Dix-neuf poèmes ¼ pour les fils du vent, De L’Inventaire, 17.8.2022, 100 p., 12,00€
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Jonas Fortier, Courbure de la terre, L’Oie de Cravan, 16.9.2022, 96 p., 14,00€
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Jacques Moulin, Corbeline (illustration : Ann Loubert), L’atelier Contemporain, 09.9.2022, 176 p., 20,00€
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Jean Esponde, Une fourrure de soleil (illustration : Françoise favretto), Atelier de L’Agneau, 20.8.2022, 116 p., 18,00€
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Jean-Daniel Botta, Tutu, Vanloo, 27.8.2022, 140 p., 18,00€
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Isabelle Gillet, J’ai besoin de nos corps précédé de À l’orée du semoir, Notari, 19.8.2022, 80 p., 27,00€
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Isabelle Ebert-Cau, Le jardin en cent poèmes, Omnibus, 15.9.2022, 216 p., 32,00€
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Inger Christensen, La vallée des papillons, Alphabet et autres poèmes (traduction : Janine Poulsen & Karl E. Poulsen ; préface : Janine Poulsen), Gallimard, 08.9.2022, 304 p., 10,80€
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Imasango, Ce pays dans mes veines, Bruno Doucey, 25.8.2022, 120 p., 14,00€
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Flavia Cosma, D’une humeur à l’autre (préface : Louise Dupré), Du Cygne, 11.8.2022, 74 p., 12,00€
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Francis Ginel, De si loin. Tome 1, Spinelle, 16.8.2022, 284 p., 18,00€
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Georg Trakl, Hélian et autres poèmes (traduction : Gustave Roud), Allia, 25.8.2022, 96 p., 8,00€
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Fadila Bastandji, Frissons d’une âme, Spinelle, 16.8.2022, 118 p., 12,00€
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Faustine Croquison, À ma recherche, Frison-Roche Belles-lettres, 24.8.2022, 128 p., 17,00€
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Eva Mulleras, Taille-vent, Unes, 16.9.2022, 80 p., 14,00€
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Edward E. Cummings, XAIPE (traduction : Brice Matthieussent), Heros-Limite, 09.9.2022, 160 p., 18,00€
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Daniel Maximin (direction), Cent poèmes d’Aimé Césaire, Omnibus, 22.9.2022, 216 p., 32,00€
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Dominique Ané, Le Présent impossible (illustration : Edmond Baudouin), Iconoclaste, 15.9.2022, 128 p., 14,00€
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Daniel Giraud, Les yeux du dragon. Petits poèmes chinois, Point, 10.6.2022, 192 p., 7,30€
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Daniel Darc, Rêve-cœur, Invenit, 16.9.2022, 160 p., 18,00€
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Collectif, Voix vives de Méditerranée en Méditerranée – Sète 2022, Bruno Doucey, 25.8.2022, 224 p., 20,00€
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Claire Norois, L’Ode à Ondine (préface : Thierry Gillyboeuf), La Différence, 15.9.2022, 336 p., 19,00€
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Blaise Ducos, Hypnos parle, Le Bois d’Orion, 19.8.2022, 80 p., 14,00€
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Christian Bobin, Les poètes sont des monstres, Lettres Vives, 08.9.2022, 64 p., 14,00€
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Bruno Doucey & Ella Yevtushenko, Ukraine – 24 poètes pour un pays (traduction : Ella Yevtushenko), Bruno Doucey, 25.8.2022, 256 p., 20,00€
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Assis Pacheco, La muse irrégulière (traduction : Max de Carvalho), Chandeigne, 22.9.2022, 200 p., 19,00€
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Baptiste Pizzinat, Womanizer, L’Iconoclaste, 08.92022, 96 p., 13,00€
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Arielle Burgelin, Devenons un paysage, Invenit, 16.9.2022, 128 p., 17,00€
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Annelyse Simmao, Changer l’eau du miroir (illustration : Magali Berdaguer), Aencrages & Co., 23.9.2022,96 p., 21,00€
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Albine Novarino-Pothier & Béatrice Mandopoulos, Cent poèmes de Victor Hugo, Omnibus, 22.9.2022, 216 p., 29,00€
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Allen Ginsberg, Howl et autres poèmes (traduction : Nicolas Richard ; postface : Nicolas Richard – Pierre-Yves Pétillon ; édition bilingue), Bourgois, 22.9.2022, 144 p., 18,50€
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Abdourahman A. Wabéri, Quand on a que la terre. Et autres recueils, Points, 02.9.2022, 272 p., 8,40€
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David Jauzion-Graverolles, L’île précaire (illustration : Claude Henri Schmitt), Le Coudrier, 01.6.2022, 117 p., 20,00€
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Domi Bergougnoux, Tout ce qui lacère (préface : Jean-Michel Aubevert ; illustration : Renaud Alliran), Le Coudrier, 01.6.2022, 82 p., 18,00€
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Pascal Feyaerts, Locataire (préface : Philippe Leuckx ; illustration : Derry Turla), Le Coudrier, 15.9.2022, 57 p., 16,00€
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Arnaud Talhouarn, Poèmes écrits sur du papier (préface : Jean-Michel Aubevert ; illustration : Nolwen Camenen), Le Coudrier, 01.6.2022, 124 p., 20,00€
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Aurore Benamou, Natures mortes (illustration : Stéphane Henry), Le Coudrier, 01.6.2022, 70 p., 16,00€
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Jean-Michel Aubevert, Transparences (illustration : Joëlle Aubevert), Le Coudrier, 01.6.2022, 67 p., 16,00€
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La Maison poème, ex-Théâtre Poème saint-gillois repris conjointement par les Midis de la poésie et FrancoFaune, ouvrira officiellement ses portes le 11 septembre prochain!
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Pour marquer dignement l'occasion, nous organisons une grande journée d'ouverture intergénérationnelle, le dimanche 11 septembre de 12h à 21h, où artistes en tous genres occuperont la Maison dans son entièreté (salle, bar, cour, bureaux, studio, salon, etc.).
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Pour marquer dignement l'occasion, nous organisons une grande journée d'ouverture intergénérationnelle, le dimanche 11 septembre de 12h à 21h, où artistes en tous genres occuperont la Maison dans son entièreté (salle, bar, cour, bureaux, studio, salon, etc.).
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L'accès à l'événement est gratuit, mais une participation sera demandée pour certaines activités (tatouage, nail art, maquillage…).
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On a hâte de vous y rencontrer!
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Les équipes des Midis de la poésie et de FrancoFaune
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C’est le moment ! N’oubliez pas, si vous voulez recevoir les « Chants de Jane », de renouveler votre cotisation annuelle : 35,00 Euros pour la Belgique et 70,00 euros pour l’étranger. à verser sur le compte du Grenier BE68 3630 1692 5934.
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Attention ! Le Grenier Jane Tony a changé de compte en banque.
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Règlement Général sur la Protection des Données
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Pour la diffusion de « La Nouvelle Revue des Élytres », nous disposons d’un fichier d’adresses courriel. C’est le seul fichier de données personnelles que nous possédons. Il n’est en aucun cas et pour aucun motif, accessible à de tierces personnes. De plus, il ne sera ni donné ni échangé avec des tiers ou toute autre personne morale.
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